Le terme de démocratie participative est souvent galvaudé et utilisé à toutes les sauces. Sur Lille, il relève largement d’opérations de communication sur l’action municipale dans une logique d’information descendante. La multiplication des différents conseils représentatifs (jeunesse, étrangers, aînés...) se fait toujours dans un fonctionnement très cadré, et n’endigue pas la désaffection croissante à l’égard des enjeux politiques que traduisent les taux d’abstention élevés aux différentes élections, particulièrement dans les quartiers populaires.
Le droit à l’éducation, à la santé, à la mobilité, au logement, sont autant d’exigences à mettre en avant pour une politique sociale de haut niveau, or les politiques d’austérité s’efforcent de réduire ces droits.
Dans ce contexte, l’ensemble des services sont attaqués. De services dédiés à l’enfance (crèches, écoles, centres aérés, etc. ) à l’action sociale ; des services de voirie aux espaces verts. Un grand nombre de bien commun risque de se dégrader, voire de disparaître.
Dans certains domaines, nous demandons à ce que la réflexion sur la gratuité soit développée (transports, services périscolaires...) :
Nous affirmons fortement que les services publics sont la réponse aux besoins vitaux de la population. Il y a, en cette matière, des maîtrises à reprendre, à regagner :
(source : l’Huma du 4 avril 2013) Nicolas Maduro est un homme modeste, que rien ne prédestinait à occuper les plus hautes fonctions du Venezuela. Président par intérim de la puissance pétrolière, et (...)
Michelle Demessine s’est saisie de la 18e édition du Zénith de la solidarité organisée dimanche 24 février 2013 par le Secours Populaire pour maintenir la pression sur la sauvegarde du budget du (...)
Base commune de discussion proposée suite au conseil national des 5 et 6 septembre 2008 et votée au plan national par les adhérents.
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