Le terme de démocratie participative est souvent galvaudé et utilisé à toutes les sauces. Sur Lille, il relève largement d’opérations de communication sur l’action municipale dans une logique d’information descendante. La multiplication des différents conseils représentatifs (jeunesse, étrangers, aînés...) se fait toujours dans un fonctionnement très cadré, et n’endigue pas la désaffection croissante à l’égard des enjeux politiques que traduisent les taux d’abstention élevés aux différentes élections, particulièrement dans les quartiers populaires.
Le droit à l’éducation, à la santé, à la mobilité, au logement, sont autant d’exigences à mettre en avant pour une politique sociale de haut niveau, or les politiques d’austérité s’efforcent de réduire ces droits.
Dans ce contexte, l’ensemble des services sont attaqués. De services dédiés à l’enfance (crèches, écoles, centres aérés, etc. ) à l’action sociale ; des services de voirie aux espaces verts. Un grand nombre de bien commun risque de se dégrader, voire de disparaître.
Dans certains domaines, nous demandons à ce que la réflexion sur la gratuité soit développée (transports, services périscolaires...) :
Nous affirmons fortement que les services publics sont la réponse aux besoins vitaux de la population. Il y a, en cette matière, des maîtrises à reprendre, à regagner :
La section de Lille du PCF publiera sur son site une sélection des portraits quotidiens de résistants que l’Humanité propose tout au long de l’été.
Portrait paru dans l’Humanité du 20 Août 2010 par (...)
Un homme est mort qui n’avait pour défense
Que ses bras ouverts à la vie
Un homme est mort qui n’avait d’autre route
Que celle où l’on hait les fusils
Un homme est mort qui continue la lutte
Contre (...)