Le terme de démocratie participative est souvent galvaudé et utilisé à toutes les sauces. Sur Lille, il relève largement d’opérations de communication sur l’action municipale dans une logique d’information descendante. La multiplication des différents conseils représentatifs (jeunesse, étrangers, aînés...) se fait toujours dans un fonctionnement très cadré, et n’endigue pas la désaffection croissante à l’égard des enjeux politiques que traduisent les taux d’abstention élevés aux différentes élections, particulièrement dans les quartiers populaires.
Le droit à l’éducation, à la santé, à la mobilité, au logement, sont autant d’exigences à mettre en avant pour une politique sociale de haut niveau, or les politiques d’austérité s’efforcent de réduire ces droits.
Dans ce contexte, l’ensemble des services sont attaqués. De services dédiés à l’enfance (crèches, écoles, centres aérés, etc. ) à l’action sociale ; des services de voirie aux espaces verts. Un grand nombre de bien commun risque de se dégrader, voire de disparaître.
Dans certains domaines, nous demandons à ce que la réflexion sur la gratuité soit développée (transports, services périscolaires...) :
Nous affirmons fortement que les services publics sont la réponse aux besoins vitaux de la population. Il y a, en cette matière, des maîtrises à reprendre, à regagner :
Les communistes saluent la mémoire du chef de file de la révolution vénézuélienne, disparu ce mardi. Un hommage militant lui a été rendu ce mercredi 6 mars place de la République à Lille, sur le parvis (...)
« Companêra » Marie-Georges Buffet, « Companêro » Jean-Luc Mélenchon, « Companêro » Francis Wurtz, tous les » companêros y companêras », amis et amies du Front de gauche de France réunis pour votre meeting de (...)
Le président Bolivien Evo Morales vient de lancer un appel à la conscience des dirigeants et citoyens d’Europe pour que soit abandonné la « directive retour ». Un texte publié dans l’Humanité du lundi 16 juin.