Au moment même où Américains et Russes se mettaient d’accord sur un cessez-le-feu en Syrie, les bombardements engagés par la Turquie, samedi 13 février, contre les positions des unités combattantes kurdes (YPG) du PYD et des Forces démocratiques syriennes (FDS) qui combattent Daesh, font la démonstration que c’est le président Erdogan qui est devenu l’un des principaux obstacles à la fin du conflit en Syrie.