Toujours en marge de l’autonomie économique, les femmes sont au coeur de la flexibilité. La crise, pas pour tout le monde, va-t-elle servir d’alibi pour ralentir une fois de plus l’égalité professionnelle homme/ femme ? Sans aucun doute ! Nicolas Sarkozy dit appliquer son programme : régression dans les missions de services publics, non revalorisation significative des pensions retraites et autres rémunérations, progression des emplois flexibles et à temps partiels. Quant au patronat, il se cache derrière la dite régression pour licencier et aller réaliser sa masse de profits ailleurs, dans les pays où la main d’œuvre est corvéable à merci.
Les communistes exigent :
- La réorientation des 360 milliards accordés aux banques, en faveur des salarié-e-s pour développer le pouvoir d’achat et l’emploi.
- La mise en place d’un SMIC européen.
- L’obligation de respecter l’égalité d’embauche, de salaire et de déroulement de carrière entre homme et femme.
- Et enfin l’abrogation du temps partiel imposé.