Après cent jours de grève, la contestation étudiante ne faiblit pas au Québec, malgré le vote d'une « loi spéciale » restreignant la liberté de manifester. Le 22 mai, ils étaient même 250 000 dans les rues de Montréal ! Au-delà de l'opposition à la hausse des frais de scolarité, le « printemps québécois » (...)