En Loire-Atlantique, plus de mille jeunes exilés sont arrivés, seuls, à Nantes ou à Saint-Nazaire depuis le mois de janvier. Près de la moitié d'entre-eux ont été pris en charge par le Département, qui en a l'obligation. Mais pour ceux dont la minorité n'a pas été reconnue, retrouver le chemin de (...)