Donner la Poste au secteur privé c’est rapidement : des bureaux de poste qui ferment et des heures d’ouverture moins nombreuses pour les usagers. C’est le prix du timbre qui s’envole et une lettre qui arrive encore moins vite à destination. C’est des emplois en moins alors qu’il en manque dans tous les bureaux de poste. C’est des statuts remis en cause. Donner la Poste au privé c’est casser un « lien précieux » surtout dans les zones rurales et les quartiers populaires.
Je refuse donc l’ouverture du capital de La Poste et j’exige :
â–ºla réouverture de ceux ayant déjà été sacrifié ;
â–ºla modernisation de ceux qui subsistent pour une plus grande efficacité auprès des usagers ;
â–ºun vaste débat public national sur le Service Public de la Communication pour le XXI è siècle.